Flattr : Gagner de l’argent avec son bouton sans en dépenser

Peter Sunde, co-fondateur de célèbre site The Pirate Bay, et Linus Olsson lançaient en mars 2010 un nouveau projet nommé Flattr. Ce système de micropaiement permet de rémunérer les auteurs de contenus sur internet. Techniquement, les utilisateurs déposent dans un premier temps une certaine somme d’argent sur leur compte Flattr. Il leur est ensuite possible de voter pour du contenu qu’ils jugent pertinent sur les sites compatibles, autrement dit ceux disposant d’un bouton Flattr. A la fin du mois, le montant initialement déposé par un membre est divisé entre les sites internet qu’il a signalé. Flattr prélevant une commission de 10%.

Flattr annonce aujourd’hui un changement majeur dans son mode de fonctionnement. Il n’est en effet plus obligatoire de déposer un minimum de deux euros sur son compte pour bénéficier d’un bouton sur son site.

Important service announcement

Important good news: from May 1st we no longer require users to flattr others before they can be flattrd. In other words, it’s not mandatory to add money to your account to have an active Flattr button.

So if you didn’t like the requirement to put money on you Flattr account upfront, you’ll probably like that it’s not necessary anymore. You can simply get your Flattr button and add it to your blog or website. Of course, if you feel like flattring someone else’s content you’re welcome to add money to your account at any time.

We hope you’ll like the simpler more straightforward Flattr. If you have any comments, questions or feedback please visit our blog or support page.

Linus, Peter and the rest of Flattr team

Peut-être est-ce le début d’une ère nouvelle qui verra des boutons Flattr se dévoiler un peu partout sur internet, ne serait-ce que pour tester ce système de rémunération en tant qu’éditeur de contenu.

Des retours d’expérience concernant ce principe de monétisation ?

Facebook Deals : Des coupons de réduction via l’achat groupé

Le plus célèbre réseau social lançait début février 2011 une fonctionnalité permettant de bénéficier de bons plans géolocalisés. Nous découvrions alors Facebook Deals.

La plateforme de coupons évolue désormais en proposant la composante achat groupé, démocratisée par Groupon et plus récemment reprise par Google Offers, pour permettre aux membres de profiter d’offres spéciales intéressantes et ainsi faire des économies lors de sorties entre amis.

Les bons plans, c’est encore mieux avec des amis.

Comme visible sur la capture ci-dessus et comme le précise le mail de confirmation de souscription à Facebook Deals, le service n’est pour l’instant disponible que dans cinq villes des Etats-Unis, à savoir Atlanta, Austin, Dallas, San Diego et San Francisco.

Il suffira cependant d’une notification dans son flux de news pour s’inscrire et pouvoir préciser sa localisation – comprendre sa ville – afin de profiter au plus tôt des réductions proposées. Cet abonnement se traduira par la publication quotidienne de bons plans une fois le service Facebook Deals accessible en France.

Sans grande surprise, les crédits Facebook sont nécessaires pour acquérir les bons d’achat valables dans les magasins, boutiques et autres restaurants partenaires.

A l’instar de Groupon, une armée de commerciaux est lancée pour démarcher les entreprises et dénicher les meilleurs prix ou encore négocier les tarifs de telles ou telles prestations.

Le déploiement de Facebook Deals aux Etats-Unis est prévu dans les semaines à venir. Aucune information pour l’instant concernant une disponibilité mondiale.

Référencement Google : Rel=canonical Vs redirection 301

Quand utiliser l’attribut rel=canonical de la balise de lien et quand faire appel à la redirection 301 sachant qu’elle engendre une perte de PageRank/Link Juice ?

La perte d’un peu de PageRank/Link Juice dans le cas de redirections permanentes est, selon Matt Cutts, nécessaire afin de prévenir tout abus et que continuent à être utilisés les liens hypertextes pour ce pour quoi ils ont été créés.

En outre, le porte-parole de Google conseille dans la mesure du possible d’employer la redirection 301 plutôt que l’attribut rel=canonical dans la mesure où, bien connue de la toile, elle est convenablement supportée par les moteurs de recherche ainsi que les navigateurs des internautes. L’appel à l’attribut sus-cité de la balise de lien devant être limité aux sites et pages sur lesquels l’accès aux en-têtes HTTP n’est pas possible.

Firefox AwesomeBar HD : Barre d’adresse avancée du navigateur

La fondation Mozilla dévoilait la AwesomeBar à la sortie de Firefox 3.0. L’éditeur du navigateur pense aujourd’hui à une version plus évoluée de la barre d’adresse sans manquer de préciser que la solution proposée par Firefox est davantage respectueuse de la vie privée contrairement aux fonctionnalités des concurrents.

La AwesomeBar HD n’envoie aucune information à des serveurs distants lors de son utilisation à la différence de l’Omnibar de Google Chrome et le Smart Address Field de Safari 4. Seul est consulté l’historique local en se basant sur la fréquence et la date de dernier accès aux pages concernées afin de les classer.

Firefox AwesomeBar HD – Catégorie « books »

Explicitement, il est de plus possible de demander à Firefox à ce que la recherche soit effectuée sur internet. Le mot clé search: ou encore un clic de souris sur une catégorie spécifique offrant une recherche spécialisée sur un service web.

Démonstration en vidéo de la AwesomeBar HD sur Firefox 4 :

L’installation de la AwesomeBar HD est rapide et ne nécessite pas le redémarrage de Firefox 4. Rendez-vous sur le site des add-ons pour télécharger la AwesomeBar HD.

Une fonctionnalité de recherche bien plus accessible que l’expérience Home Dash que je vous présentais début février 2011.

Source : Blog Mozilla Labs

Mon Entreprise En Ligne : Les PME et TPE françaises sur internet

Selon une étude intitulée Impact d’Internet sur l’Economie Française et publiée par le cabinet McKinsey en mars 2011 :

la majorité des PME et TPE françaises n’ont pas encore franchi le pas de la création d’un site Internet. Seulement 30% d’entre elles ont déjà un site web actif. Or, celles qui recourent le plus aux technologies du web croissent deux fois plus et exportent deux fois plus que la moyenne

Parti de ce constat, une initiative est notamment prise par Google, SFR et Oxatis afin de sensibiliser et aider les PME et TPE françaises à se lancer sur internet : Mon Entreprise En Ligne.

C’est via une plateforme en ligne que les sociétés sus-citées comptent soutenir entreprises, auto-entrepreneurs et artisans en leur offrant la possibilité de créer gratuitement un site web personnalisable afin de leur offrir une présence sur la toile.

Plus exactement, le nom de domaine est offert la première année. Une fois ce délais dépassé, il conviendra cependant de s’acquitter de frais de fonctionnement mensuels de cinq euros par mois, sans engagement. A noter que quoi qu’il arrive, les informations mises en ligne sur les différents sites web restent la propriété des créateurs de contenus.

En partenariat avec le Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, les responsabilités ont été réparties de la façon suivante :

• Oxatis : développement et gestion du service
• SFR : conseil et aide à la prise en main des technologies web
• Google : bon d’une valeur de 100 euros pour une campagne de publicité Google AdWords, accès à Analytics et Google Adresses

Le projet Mon Entreprise En Ligne sera de plus présenté dans onze villes à l’occasion d’un tour de France prévu au courant du mois de mai 2011.

Comme visible sur la carte, des formations et conférences seront ainsi proposées à Rouen, Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille, Nice, Montpellier, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rennes.

Présentation de Mon Entreprise En Ligne en vidéo :

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site Mon Entreprise En Ligne.

Source : Blog Google France