Facebook : Chiffres clés, conseils et bonnes pratiques

Logo FacebookQuoi qu’on en dise, l’impact de Facebook avec le temps – compte tenu du taux de pénétration de la plateforme – prend tous les jours plus d’importance dans notre vie, privée et/ou professionnelle. Il n’est plus possible de l’ignorer.

Les agences de communication, digitales, publicitaires, web et autres sociétés du secteur l’ont bien compris et en tirent régulièrement profit pour de nombreuses campagnes de promotion de marques et autres produits.

Voici une vidéo présentant de nombreuses informations concernant le réseau social. Y sont tout d’abord illustrés des chiffres significatifs avant de promulguer conseils et bonnes pratiques à propos de la valeur des fans de Pages ou d’outils comme les raccourcisseurs d’URL.

Les animations défilent rapidement ; n’hésitez pas à garder le curseur de la souris sur le bouton pause du lecteur.

Recommandations à garder à l’esprit.

Source : Webactus

Domaines .xxx validés pour l’industrie pornographique

Logo du TLD .xxxVoilà plus d’un mois déjà que la création des domaines de premier niveau .xxx était validée par le conseil d’administration de l’ICANN à l’occasion du congrès qui se tenait à San Francisco mi-mars 2011. Il aura fallu batailler pas moins de sept longues années, depuis la première requête, pour finalement arriver à un TLD dédié aux sites web à caractère pornographique.

A l’initiative de cette extension supplémentaire triple x, ICM Registry est seul registrar à détenir l’autorisation de la commercialiser. La régulation est quant à elle assurée par l’IFFOR (International Foundation for Online Responsibility), organisme indépendant bien qu’affilié dans lequel siègent sept personnes dont notamment des responsables de l’industrie du divertissement pour adultes et un représentant de la protection de l’enfance. C’est sans surprise cette même entité qui dicte les règles à respecter concernant l’exploitation des domaines : interdire spam, malwares et autres contenus pédopornographiques, respecter la propriété intellectuelle, etc.

Côté tarifs, il en coûtera 60 dollars par an à la personne physique ou morale souhaitant profiter d’un nom de domaine basé sur le suffixe .xxx.

Le nouveau sTLD (Sponsored top-level domain) prenait place le 15 avril 2011 sur les serveurs racines grâce à l’IANA (Internet Assigned Numbers Authority) et les premiers sites internet dédiés à sa promotion suivaient rapidement : xxx.xxx, sex.xxx, porn.xxx et icm.xxx. Plusieurs centaines de milliers de domaines sont d’ailleurs d’ores et déjà réservés comme nous l’apprend un tweet du compte officiel daté du 17 avril 2011.

.XXX now live in the root. check out www.icm.xxx Pre-regs almost 600,000 today!! #dotxxx #icann (@ICMRegistry)

La possibilité de surveiller censurer filtrer les sites porno n’aura jamais été si facile pour les solutions de contrôle parental. Une nouvelle rassurante pour les parents alors que les enfants et adolescents ont de plus en plus tôt recours à internet, aussi bien pour leurs recherches scolaires que pour se divertir.

Google Offers : Service de coupons lancé aux Etats-Unis

Logo Google OffersGoogle Offers, le service de coupons de réduction dévoilé au courant du mois de janvier 2011 est désormais disponible aux Etats-Unis. Le concurrent de Groupon, bien qu’accessible pour certaines grandes villes (Portland, Oakland, New-York et San Francisco), n’est pourtant pas encore fonctionnel.

Google Offers

A l’instar de Groupon, le service sur lequel le principe de fonctionnement est copié, Google Offers nécessite une inscription par ville avant de recevoir quotidiennement par mail les offres/bons plans (50% et plus) des commerces localisés dans la zone géographique choisie.

Vidéo de promotion de Google Offers :

Ouverture officielle à venir, en attendant une disponibilité mondiale pour permettre à tous les internautes de faire de belles économies tout en restant près de leur lieu de résidence (ville/quartier).

Google Panda : La farmer update arrive en France

Logo GoogleLa fameuse mise à jour de l’algorithme de Google – le fermier devenu panda – était dévoilée le 24 février 2011. Le géant de la recherche annonçait en toute transparence la mise en place d’un changement important ayant un impact sur pas moins de 11.8% des résultats. L’objectif étant de lutter contre les sites de mauvaise qualité, ie. les fermes de contenu et autres copieurs/voleurs en manque d’originalité/créativité, pour faire ressortir des sites plus pertinents.

Ne concernant alors qu’exclusivement les Etats-Unis, Google Panda avait des conséquences désastreuses rapidement publiées par la société Sistrix sur la base de son SISTRIX VisibilityIndex prenant en compte le trafic généré à partir des différents critères que sont les mots clés, le positionnement et le taux de clic (CTR) : une baisse d’audience de -77% à -94%.

Google Panda : Baisse de trafic US

Etait concernée l’Europe et plus précisément le Royaume-Uni à compter du 11 avril 2011, date à laquelle était déployé le changement de l’algorithme pour toutes les requêtes anglophones à l’échelle mondiale, quelle que soit la déclinaisons de Google. Comme redouté, le constat était douloureux avec, selon Searchmetrics, des pertes de trafic allant jusqu’à -99.94% pour le nom de domaine moneypage.com.

Google Panda : Baisse de trafic UK

La surprise était plutôt de taille pour d’autres sites enregistrant une importante hausse, comme ebay.co.uk avec +42.06%, techcrunch.com avec +40.72% ou encore mashable.com avec +22.61%.

Google Panda : Hausse de trafic UK

Et comme si cette mesure semblait ne pas suffire, une nouvelle fonctionnalité annoncée il y a quelques semaines s’ajoute : la possibilité de signaler des sites dans les pages de résultats. Ce feedback de blocage envoyé par les internautes constitue désormais un facteur de ranking et touche 2% des résultats de recherche en plus des 12% initiaux.

L’arrivée prochaine de cette mise à jour en France – concernant donc 14% des requêtes – provoque sans surprise des vagues de panique, d’autant plus que sont déjà à noter des dommages collatéraux. Frayeur dont certains référenceurs ne manquent évidemment pas de profiter.

Google : Taux de clic selon le positionnement dans les SERPS

Logo GoogleLa société Optify publie tout juste une nouvelle étude concernant le taux de clic en fonction du positionnement des sites web dans les pages de résultats. Les trois premières places récoltent près de 60% (58,4%) des clics. Constat permettant de rapidement rappeler à quel point il est important de soigner son référencement naturel.

La première position enregistre pas moins de 36,4% des clics alors que la seconde ne se contente déjà plus que de 12,5% soit à peu de chose près trois fois moins. La troisième position représente déjà moins de 10% et à partir de la cinquième place, le CTR passe sous la barre des 5%.

Google : Taux de clic dans les SERPS

Détails des chiffres utilisés pour établir le graphique ci-dessus :

Google : Détails du taux de clic dans les SERPS

Le travail des référenceurs – white ou black hat – est effectivement primordiale pour gagner en visibilité et générer toujours plus de trafic sur un site web. Difficile de prétendre le contraire.

Source : Optify

Partenaires et blog à la une

Promotion