Le géant de la recherche mettait il y a quelques temps à jour l’interface de son service gratuit de cartes géographiques et autres plans en ligne. Alors que Google Maps se révélait très sobre à sa sortie, de nombreuses fonctionnalités apparues au cours des années obligent le service à revoir sa copie.
Ancienne interface de Google Maps
En sont un parfait exemple les différentes vues – cartes, satellite ou de la Terre (issue de Google Earth) – mais aussi les photos ou encore les moyens de locomotions disponibles, désormais facilement accessibles via un widget dans le coin supérieur droit.
Nouvelle interface de Google Maps
Sont ainsi visibles de nombreuses informations comme illustré sur la capture ci-dessus.
La nouvelle version majeure du navigateur web attendue dans les semaines à venir, Firefox 4, apporte de nombreuses nouveautés qui ne manqueront pas de ravir les fidèles internautes y ayant recours ; Panorama, le compilateur à la volée JaegerMonkey ou encore la 3D native via WebGL en sont de parfaits exemples.
L’interface utilisateur a également évolué en proposant notamment des onglets au dessus des boutons de navigation et de la barre d’adresse. Mais concernant cet aspect, il n’y a pas uniquement du bon. La disparition de la barre de statuts me chagrine beaucoup. Sans cette dernière, comment visualiser l’URL vers laquelle pointe le lien au survol de la souris ?
Ces adresses de destination sont désormais affichées dans la barre d’adresse.
Mais comme vous pouvez le constater sur la capture ci-dessus, l’URL présente dans la balise de lien n’est pas toujours visible dans son intégralité ; ce comportement dépendra de la longueur de l’adresse, de la taille de la fenêtre du navigateur mais aussi de la résolution de l’écran.
Cette volonté de savoir où nous mènera cet élément essentiel que représente le lien n’est assurément pas commune à tous les internautes. Cela me gêne cependant beaucoup et j’imagine donc ne pas être le seul.
Pour finir, l’espace soi-disant gagné en bas de fenêtre n’est qu’une illusion pour peu que l’utilisateur installe telle ou telle extension dont des contrôleurs et/ou indicateurs viendront se placer dans cette Barre des modules.
Bref, une régression en ce qui me concerne pour cette status bar qui m’apportait jusqu’alors de précieuses informations…
Sur Google, comment se positionner dans les résultats locaux sans être présent dans ladite localité ?
Les résultats locaux dévoilés au courant du mois d’octobre 2010 sont de plus en plus présents dans les pages de résultats comme le confirme la disparition des résultats traditionnels sur certaines requêtes, bousculés par la localisation des commerces inscrits au sein de Google Adresses, ou encore Google Boost.
Il s’agit donc bien d’un point non négligeable en ce qui concerne le référencement naturel. Mais comment faire le poids pour un commerçant non localisé mais pourtant bien concerné par la ville dont il est question dans les pages de résultats du moteur de recherche ?
Comme vous l’aurez sans doute compris, Matt Cutts dissocie « business local » et « business mobile ». Alors que dans le premier cas il n’est en toute logique pas possible de passer outre la restriction, le second offre la possibilité, via Google Places, de fixer des zones desservies. La définition de cette zone géographique d’intervention est possible en précisant un rayon d’action autour d’un point central ou des codes postaux pour indiquer des localités précises.
La curation de contenu (ou content curation en anglais). Assurément le terme le plus à la mode depuis quelques semaines déjà sur la toile, tout du moins française. Sous ce nouveau mot quelque peu étonnant se cache un principe des plus faciles à comprendre : sélectionner les meilleurs contenus traitant d’un sujet donné sur le web.
Cette rapide définition est bien évidemment très réductrice puisque de nombreuses tâches gravitent autour, que ce soit en amont ou en aval de cette activité de nomination d’articles, infographies et autres documents en tous genres : identification des sources, veille, classement ou encore partage, accompagné ou non de rédaction.
Et alors que de très nombreux utilisateurs de Twitter connaissent d’ores et déjà Paper.li, arrive un nouvel acteur de la curation, Scoop.it, actuellement en version bêta et accessible uniquement sur invitation.
Présentation de Scoop.it en vidéo :
Comme vous l’aurez sans doute compris, Jack – en tant que content curator – , a une importante connaissance des guitares liée à une expérience forgée à travers des années de pratique grâce à sa passion. Un peu à l’instar d’un documentaliste, celui-ci est donc en mesure regrouper, organiser et partager le contenu le plus pertinent.
Via une page dédiée aux meilleures informations sélectionnées par Jack, les internautes intéressés par le sujet en question sont en mesure de bénéficier d’une qualité certaine sans perdre de temps.
Scoop.it vient donc en quelque sorte se placer entre les blogs qui nécessitent une importante attention/implication et des services comme Twitter sur lesquels sont catapultés écrits et autres publications.
Google soutient les internautes dans les moments les plus délicats via une nouvelle OneBox. A travers un encart en tête de pages de résultats, le moteur de recherche donne aux personnes semblant en faire la demande des informations concernant les numéros de téléphone d’urgence : Samu, Police & Pompiers.
Pas moins de 13 pays sont ainsi ciblés afin d’apporter un soutien aux moments les plus critiques. Sans grande surprise, sont véritablement ciblés les voyageurs étant à l’étranger depuis peu, pour y vivre ou pour leurs vacances, et ne connaissant donc pas encore les numéros d’appel.
En réalité, cette OneBox n’est pas si récente que ça puisqu’elle a été annoncée par Google au mois de novembre 2010. J’étais passé à côté de l’information.