Il s’agit plus précisément d’une bande dessinée développée avec les dernières technologies web ayant pour but de montrer les avancées considérables du navigateur par rapport aux versions précédentes.
Ont ainsi été utilisés l’HTML 5 (font-face, SVG, etc.), le CSS 3 ainsi que le célèbre framework JavaScript jQuery.
La nouvelle version bêta du navigateur web de Microsoft est disponible. Annoncé il y a quelques minutes lors de la conférence qui se tenait à San Francisco, Internet Explorer 9 apporte de grands changements par rapport aux versions précédentes et rattrape ainsi un certain retard accumulé des années durant.
De nombreuses améliorations sont à noter, notamment au niveau de l’interface – qui s’apparente vraiment à celle de Google Chrome -, du respect des standards web (95/100 à l’Acid Test 3), des performances accrues du côté de l’interprétation du JavaScript, du support d’un certain nombre de spécifications HTML 5 ou encore de l’accélération matérielle pour un rendu plus performant et rapide.
Pour gagner davantage de place, Microsoft a été jusqu’à drastiquement réduire la largeur de la barre d’adresse ; assurément trop à mon goût. D’autre part, l’affichage de compatibilité est toujours disponible alors que tous les boutons à l’exception de Précédent et Suivant ont été déplacés ou supprimés.
Du côté des modules complémentaires, l’éditeur apporte un confort qu’attendent depuis longtemps les utilisateurs de Firefox : pas besoin de redémarrer le navigateur lors d’installation/désinstallation.
Pour télécharger Internet Explorer 9 bêta (en de nombreuses langues et pour les systèmes d’exploitation – 32 et 64 bits – Windows Vista et Windows 7 uniquement), rendez-vous sur la page suivante : Download languages for Internet Explorer 9 Beta.
Google s’en prend au web invisible. Ce n’est pas une exclusivité ni même une nouveauté ; le géant de la recherche en parlait déjà il y a plus de deux ans comme le souligne Matt Cutts dans la vidéo ci-dessous.
Le web invisible représente l’ensemble des pages internet inaccessibles aux différents robots des moteurs de recherche. Il s’agit plus précisément des informations stockées notamment dans les bases de données et dont l’accès n’est possible que via des recherches dynamiques, ie. par des formulaires pour préciser les critères de la requête.
Compte tenu de la quantité des données dont il est question et dans une volonté de partage, Google s’est mis en tête de parcourir les formulaires afin d’indexer ce qu’il sera en mesure de trouver. Ses travaux ne lui permettent cependant pas encore d’explorer les formulaires complexes et ce dernier est donc rapidement limité.
Sorti le 2 septembre 2008, le navigateur Google Chrome fêtait début du mois ses deux ans. A cette occasion, le géant de la recherche annonçait la disponibilité de Google Chrome 6 – après de longs mois sur le canal de développement – en version finale.
Comparé à la première release du navigateur, cette nouvelle mouture est trois fois plus rapide pour ce qui est de l’interprétation du JavaScript.
Google Chrome 6 apporte de plus son lot de nouvelles fonctionnalités et peut désormais plus que prétendre rivaliser avec les autres produits du marcher : thèmes, extensions, traduction native, synchronisation des informations et préférences utilisateurs, intégration du plugin Flash Player, interface simplifiée ou encore support avancé de l’HTML 5.
Google Chrome travaille désormais sur les applications et l’accélération matérielle afin de proposer à ses fidèles un navigateur toujours plus performant.
Un nouveau Twitter, un meilleur Twitter : un design plus simple, rapide et riche en expériences. Voilà ce qu’annonce le célèbre service de microblogging.
L’interface se voit significativement modifiée : réduction de la largeur de la timeline pour laisser la place à du contenu additionnel qui apparaîtra au clic sur les tweets. Le surf sur le site est également simplifié grâce à un partenariat avec de nombreuses plateformes du web (DailyBooth, DeviantArt, Etsy, Flickr, Justin.TV, Kickstarter, Kiva, PhotoZou, Plixi, Twitgoo, TwitPic, TwitVid, USTREAM, Vimeo, yfrog et YouTube) et il n’est donc par exemple plus nécessaire de régulièrement quitter Twitter pour visionner un média (photos, vidéos, etc.).
Comme vous avez pu le voir dans la vidéo, les internautes apprécieront également la timeline infinie, ie. dont les tweets se chargent progressivement et automatiquement. Plus besoin donc de cliquer sur le bouton more (plus) en bas de page.
Cette nouvelle mouture se rapproche finalement des clients Twitter comme TweetDeck et Seesmic en proposant des informations sur les membres lors du clic sur le nom d’utilisateur.
Le déploiement est prévu sur l’ensemble des comptes Twitter dans les semaines à venir.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel.