Après l’infographie de l’état du réseau social alors que celui-ci dépassait tout juste les 500 millions d’utilisateurs, c’est une représentation du business de Facebook que je vous propose :
Des chiffres qui laissent plutôt rêveur n’est-ce pas ?
Google Wave était lancé il y a moins d’un an, fin septembre 2009. Il s’agissait alors d’un service révolutionnaire dans le domaine de la communication pour lequel les invitations, peu nombreuses au pré-lancement, se sont rapidement retrouvées en vente sur eBay. Google Wave se montrait innovant sur de nombreux aspects dont notamment le partage d’information en temps réel entre différents interlocuteurs. Mais les utilisateurs étaient bien trop rares et c’est à priori ce qui a empêché l’adoption massive qui aurait permis au service de prendre son envol…
Le géant de la toile annonce aujourd’hui la cessation des développements pour Google Wave en tant que produit indépendant et parle d’une éventuelle fermeture à la fin de cette année 2010. Rien n’est perdu cependant puisque les technologies développées seront recyclées pour faire évoluer d’autres services et même dans certains cas partagées en open-source comme c’est le cas pour le glisser-déposer ou encore l’algorithme de saisie en temps réel.
A noter que des outils d’extraction des données seront prochainement disponibles pour récupérer les informations partagées sur Google Wave durant les derniers mois.
Source : Blog Google
Twitter est une nouvelle fois hors d’atteinte ce soir, avec une nouvelle version de sa page d’erreur Something is technically wrong quelque peu revue.
Accros au service de microblogging, patience…
Edit : Twitter est désormais surchargé (Twitter is over capacity).
Dans le cas d’un site web et d’un hébergement mutualité, le fait de partager un serveur – même adresse IP – avec des sites de spam peut-il influer sur le positionnement dudit site dans les pages de résultats de Google ?
De façon générale, heureusement pour les webmasters et autres référenceurs, la réponse est presque non. Sachant qu’il est dans la majorité des cas impossible de savoir qui partage le serveur sur lequel se trouve le site web sujet à étude, le moteur de recherche ne peut se permettre de le pénaliser ; c’est d’autant plus vrai s’il respecte de son côté les règles du jeu.
Concernant un ratio contraire cependant, des milliers de sites de spam et un seul site à priori sans histoire, Matt Cutts précise que l’algorithme de Google n’hésitera pas à sanctionner.
Après l’infographie présentant le fonctionnement du web, c’est au tour des chiffres constituant son identité – poids des données, informations à propos des internautes, mails et spam, sites et blogs, accès mobiles ou encore réseaux sociaux – d’être dévoilés.
Source : AccessOWeb
TiChou 
07/08/2010 à 17:49 
