Social commerce : Profil de l’e-shoppeuse sur Facebook

Les femmes sont bien connues pour être des consommatrices hors paires. Quel est le portrait de l’e-shoppeuse, quel est son comportement d’achat ou ses habitudes sur et au travers du réseau social Facebook ?

L’e-shoppeuse a de nombreuses caractéristiques mais avant tout, son profil moyen est le suivant :

• 39 ans
• ne vit pas seule
• a fait des études supérieures
• habite en province

Cette personne se connectant au moins une fois par jour, étant initiatrice d’au moins une commande par trimestre et représentant près de la moitié du chiffre d’affaire pour certaines catégories de produits diversifie ses achats sur le web, tant concernant les boutiques qu’au sujet des produits.

Du côté des réseaux sociaux, 92% des e-shoppeuses sont inscrites sur Facebook et 84% d’entre elles sont présentes depuis plus d’un an sur la plateforme. En outre, 48% de ces femmes sont fans d’une ou plusieurs marques (en moyenne 8) pour bénéficier des promotions et autres réductions offertes. Les ventes évènementielles et achats groupés sont de plus très prisés.

Sur Facebook, on retrouve finalement trois portraits que sont l’influente, l’affairiste et l’alternative. Plus de détails dans l’infographie ci-dessous.

Parmi les lectrices du blog, certaines se reconnaissent-elles ? Les avis des internautes ont-ils une importance pour vous ?

Source : JdN

WebP : Compression sans perte d’images et transparence

Au courant du mois de septembre 2010 et grâce à l’ouverture du codec VP8, Google dévoilait un nouveau format d’image à destination du web venant concurrencer le célèbre JPEG : le WebP. Ledit format open source, proposant des gains de 25 à 34% en ce qui concerne le poids du fichier pour une compression avec perte identique, était d’ailleurs adopté par les navigateurs internet Google Chrome et Opera.

Dans une volonté d’amélioration du WebP, le géant de la recherche annonçait le mois dernier de nombreuses nouveautés : le support de l’animation (à l’instar du GIF), du profil ICC, du format de métadonnées XMP ou encore du tiling d’images.

Google communique aujourd’hui sur deux nouveautés de taille permettant au WebP de rivaliser avec le PNG : la compression sans perte et la transparence.

Images compressées en PNG, WebP sans perte et avec perte

En ce qui concerne la compression sans perte, une réduction du poids des fichiers PNG de pas moins de 45% est à noter ; avec seulement 28% pour les fichiers PNG compressés avec les outils pngcrush et pngout. La firme de Mountain View ne manquant pas de rappeler que des fichiers moins lourds signifiant des chargements de pages internet plus rapides.

La transparence du WebP (gérée via une couche alpha venant se rajouter aux trois couches rouge, verte et bleue) est également présentée comme plus performante que celle du PNG avec seulement 22% d’octets supplémentaires par rapport à un fichier compressé en WebP avec perte (qualité 90).

Sans surprise, Google Images propose désormais un nouveau type de fichier pour filtrer les résultats dans la recherche avancée : Fichiers WEBP.

Des échantillons d’images compressées sans perte et transparentes sont disponibles dans la galerie. Plus de détails sur le format d’images WebP sur Google Code.

Source : Blog Google Code

Google Street View : Photos de montagnes enneignées

Voilà deux ans déjà que la Google snowmobile parcourt les sommets recouverts de neige dans les montagnes des Etats-Unis mais aussi du Canada, notamment dans le cadre des jeux olympiques de Vancouver de 2010, pour prendre des clichés afin d’enrichir la fonctionnalité Street View intégrée à Google Maps. Le travail semble achevé et le géant de la recherche annonce dans ce sens la disponibilité des photos des pistes de ski et autres paysages tapissés d’une épaisse couche branche.

Présentation en vidéo des horizons enneigés concernés :

Pour découvrir les clichés, rendez-vous dans la galerie Ski Resorts and Slopes de Street View.

Beau complément après les photos des Alpes suisses depuis un train.

Source : Blog Google

Google Wallet : Google Checkout intégré au portefeuille

La firme de Mountain View dévoilait fin mai 2011 sa solution de paiement sans contact via téléphone mobile Google Wallet (Google Portefeuille en français) en partenariat avec MasterCard. PayPal et Visa réagissaient d’ailleurs rapidement en présentant pas moins d’une semaine plus tard leur déclinaison du porte-monnaie numérique.

Nouveau rebondissement dans l’histoire de Google Wallet puisque le géant de la recherche vient d’annoncer sa fusion avec Google Checkout. Toutes les fonctionnalités intéressantes de cette dernière solution de paiement seront donc sous peu intégrées au plus récent des deux projets afin d’obtenir un seul et unique portefeuille électronique.

Today, we’re starting to take all the great functionality and ease-of-use you’ve come to know with Google Checkout and merge it with Google Wallet to create a single wallet, whether you’re buying online or in-store.

A compter de ce moment, Google Wallet sera donc la solution unique de paiement online et offline de la société. En toute logique, celle-ci deviendra également le mode de règlement par défaut sur l’Android Market, YouTube, Google+ Games et de nombreux autres services Google.

Pour les e-consommateurs, il s’agit là d’une méthode de paiement rapide et facile d’utilisation qui ne nécessitera pas de se munir de son numéro de carte de crédit ou de son adresse postale de livraison lors de commandes sur internet mais simplement de son identifiant et mot de passe Google Wallet. Les Citi MasterCard ajoutées à l’application mobile deviendront de plus compatibles pour des paiements en ligne.

Rien à signaler du côté des cybermarchands pour qui le changement sera transparent. Google communique cependant sur sa volonté de se rapprocher de ses partenaires en début d’année prochaine afin de migrer vers le nouveau logo – comprendre celui de Google Wallet – ainsi que présenter les nouvelles fonctionnalités à venir.

Google annonce de plus une option d’intégration plus poussée pour les accès via téléphones portables. Les mobinautes étant en effet davantage sujet à l’abandon de panier durant les longs processus de commande.

Seules deux boutiques e-commerce sélectionnées sur le volet – m.fandango.com et m.movietickets.com – sont pour l’instant concernées par ce paiement simplifié pour mobile, automatiquement proposé pour les internautes accédant à celles-ci au travers d’Android, BlackBerry ou iPhone.

Les professionnels US intéressés par l’intégration de cette solution à leur site de vente en ligne sont invités à se faire connaître grâce au formulaire prévu à cet effet.

Pour rappel, Google Wallet n’est pour lors qu’accessible aux Etats-Unis. Une telle fusion des deux produits pouvant cependant sous-entendre une disponibilité prochaine du portefeuille en Europe et/ou dans le reste du monde.

Source : Blog Google Commerce & Blog Google Commerce

Google Music : Music Store, Artist Hub et partage sur Google+

La firme de Mountain View annonçait au mois de mai 2011 l’arrivée de son service de musique en streaming : Google Music Beta. En toute logique, de très nombreux internautes cherchaient alors à obtenir des invitations afin de bénéficier des possibilités offertes par la plateforme, à savoir stocker pas moins de 20 000 chansons dans les nuages, accessibles depuis différents terminaux à travers le monde. De plus, le géant de la recherche dévoilait Google Magnifier en pleine période estivale, un site donnant accès à de la musique gratuite aux utilisateurs de Google Music Beta.

Il y a trois jours, le service abandonnait sa mention Beta et était ouvert aux internautes outre-atlantiques. Le firme de Mountain View lançait enfin Google Music !

Disponible uniquement aux Etats-Unis et fort d’un catalogue de 13 millions de titres, Google Music propose désormais de la vente de musique après avoir trouvé des accords avec les trois majors que sont Universal Music, EMI et Sony BMG auxquels viennent s’ajouter pas moins d’un millier de labels indépendants. Aucune trace de Warner Music. Pour ce qui est des pistes payantes en 320 kbps, les prix sur le Music Store sont compris entre 0,69 et 1,29 dollars avec une pré-écoute de 90 secondes avant achat.

Présentation du service en vidéo :

Google Music permet de plus aux musiciens et autres chanteurs ou groupes de créer des pages artistes, les Artist hub. Moyennant 25 dollars de frais de création, leur est ainsi assurée une place de marché pour envoyer (uploader) leurs créations avant de les vendre aux tarifs qui leur conviendront. Aucune limite d’albums ni de morceaux n’est fixée. Google se prenant une commission de 30% du montant des revenus et reversant mensuellement les 70% restants aux créateurs.

Présentation des pages artistes en vidéo :

Sans surprise Google Plus entre dans la boucle avec la possibilité de partager les albums et chansons achetés via l’Android Market aux cercles d’amis créés dans le réseau social. Une écoute gratuite sera alors consentie aux membres concernés.

La célèbre plateforme YouTube est également concernée puisqu’offrant la possibilité de vendre musique, tickets de concerts et autres produits dérivés au travers du Merch Store et des pages des vidéos. Ladite fonctionnalité devrait être déployée dans les semaines à venir.

Pour rappel, l’écoute de musique se fait non seulement grâce au service Google Music depuis un navigateur web mais également depuis l’application Android (minimum Android 2.2 alias Froyo) depuis smartphones et tablettes.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site officiel de Google Music pour découvrir le tour.

Spotify et iTunes n’ont qu’à bien se tenir !

Source : Blog Google