L’image d’une personne, physique ou morale, est importante. Pour les entreprises qui cherchent à faire connaître leurs marques et produits sur un marché, beaucoup d’efforts et de temps sont ainsi nécessaires afin de créer l’identité et la graver dans les esprits des consommateurs.
Pour un logo par exemple, de nombreux éléments comme les formes et les couleurs entrent en jeu. Ceux-ci permettent son identification en un clin d’oeil, et bien souvent l’association d’une collection d’images liée à cette même entité.
Mais que pourrait donner la modification de tels logos, en incluant par exemple des symboles identifiant une société concurrente ? Pepsi vs Coca Cola, Apple vs Microsoft, McDonald’s vs Burger King ou encore Nikon vs Canon.
Retrouvez ci-dessous deux acteurs de la guerre bien connue des internautes qu’est celle des navigateurs web : Firefox vs Internet Explorer.
Les internautes publient et partagent quotidiennement de nouvelles informations sur internet. Dans une volonté de permettre à ceux-ci d’avoir un contrôle sur ces données personnelles, la firme de Mountain View constituait il y a quelques années une équipe d’ingénieurs connue sous le nom de Google Data Liberation Front. Encore actuellement, son but est d’offrir aux utilisateurs des différents services du géant de la recherche la possibilité de déplacer leurs données, au sein ou en dehors des outils de Google. En d’autres mots, de permettre l’export et le téléchargement des données stockées dans des formats ouverts.
Peu après l’annonce de Google Plus en juin 2011, le front de libération des données Google dévoilait Google Takeout.
Il était alors possible de sauvegarder ses données privées depuis plusieurs services simultanément, qu’il s’agisse des buzz, contacts et cercles, albums photos Picasa ou encore des informations du profil. Sont depuis accessibles les +1s ainsi que les flux du réseau social.
Google Takeout ajoute aujourd’hui une corde à son arc en donnant également accès à l’historique des appels et aux autres données Google Voice.
Comme visible sur la capture ci-dessus, il est possible de télécharger tout ou partie des données personnelles en archive.
Pour tester ce service, rendez-vous sur la page suivante : Google Takeout.
Où Google en est-il avec l’indexation des documents PDF et la façon dont il retourne ces fichiers en résultat aux internautes lors de recherches au travers du moteur ? Le géant de la recherche revenait il y a quelques jours sur plusieurs points concernant ce format bien connu.
Dans sa volonté de rendre accessible les ressources d’internet, Google commençait à indexer les fichiers PDF en 2001. Des centaines de millions de ces documents sont désormais connus et ressortent donc dans les pages de résultats du moteur de recherche, avec la possibilité en plus des mots clés de limiter les retours à ce seul format via la commande filetype:pdf .
De façon générale, Google indexe tout contenu textuel de PDF, peu importe la langue, à condition qu’il ne soit pas protégé par mot de passe ou encore chiffré. Dans le cas de texte intégré à une image, un algorithme de reconnaissance optique de caractères (OCR) intervient. Les illustrations ne sont quant à elles pas indexées en tant que telles.
Les liens au sein des documents PDF sont traités de la même manière que ceux pouvant se trouver dans une page HTML. Ils distribuent donc PageRank et autres signaux mais ne peuvent être enrichi de l’attribut nofollow.
Pour empêcher ou bloquer une indexation, il convient de faire appel à l’en-tête HTTP X-Robots-Tag: noindex. En PHP par exemple, le code serait le suivant :
<?php header("X-Robots-Tag: noindex"); ?>
Google rappelle de plus l’existence de l’outil de suppression d’URLs disponible dans les webmaster tools pour une plus grande réactivité.
Côté positionnement d’un document PDF dans les pages de résultats, les règles et les possibilités sont les mêmes que celles d’une page web.
Au sensible sujet de la duplication de contenu HTML/PDF (duplicate content), Google conseille plusieurs possibilités :
Lien de la version préférée dans le sitemap
Canonical via la balise meta HTML
Canonical via l’en-tête HTTP
Le titre du snippet de résultat est finalement déterminé à l’aide des deux informations que sont la métadonnée titre du fichier ainsi que l’ancre du lien pointant vers ledit document PDF.
Google conclue l’article en invitant les intéressés à regarder la vidéo de Matt Cutts traitant des bonnes pratiques à mettre en place pour le référencement de PDF.
Pour ma part, je m’interroge sur la non prise en compte de l’en-tête HTTP nofollow permettant théoriquement de bloquer tous les liens…
Ordonner les commentaires du réseau social de façon chronologique ou anté-chronologique. Fonctionnalité classique connue et accessible depuis un moment déjà aux utilisateurs. Pour compléter ces possibilités, Facebook propose désormais de trier les réactions des membres selon son propre algorithme. Est ainsi dévoilé le classement social (social ranking).
A noter que cette nouveauté semble uniquement disponible pour le plugin social des commentaires. Rien à signaler du côté des pages Facebook.
Aucune information n’a été fournie à propos de ce classement social mais ce dernier semble se baser sur plusieurs critères dont notamment le nombre d’interactions engendrées (like et commentaires) par les différentes publications mais aussi en fonction de la proximité des commentateurs avec le compte connecté (autrement dit, les amis de l’internaute apparaissent en haut).
Des remarques et/ou informations à partager au sujet de cette nouvelle fonctionnalité de tri des commentaires ?
Y sont ainsi présentés sur un axe de temps les technologies et navigateurs web qui ont fait et font encore actuellement internet tel que nous le connaissons. De 1990 à 2011, retrouvez des protocoles (HTTP, SSL), langages ou assimilés (HTML & HTML 5, CSS, JavaScript, Flash, XML, AJAX) ainsi que nos fidèles browsers dont certains sont actuellement dépassés (Mosaic, Netscape, Opera, Internet Explorer, Safari, Firefox, Chrome).
Google va jusqu’à préciser ce qu’on pourrait assimiler aux futurs des navigateurs, ces systèmes d’exploitations minimalistes comme Chrome OS.
Pour découvrir cette infographie construite en HTML5, rendez-vous sur le site suivant : L’évolution du Web.