Le squatting de pseudo Twitter se répend bien rapidement, à croire qu’il s’agit du nouveau sport à la mode. On peut tenter n’importe quelle (grande) marque et être sûr que le compte existe d’ores et déjà : porsche, coke, nike, microsoft, ibm, etc. A croire que les personnes étant en droit de posséder ces comptes ne vont pas contacter Twitter afin de le récupérer et payeront les actuels détenteurs. Cela se tente après tout.
Vous étiez sans doute au courant de Google Books (Recherche de livres en Français) qui était plus ou moins gelé face à des problèmes de non respect des droits d’auteur. Google a réussi à régler le problème, ou tout du moins avec l’association des éditeurs américains (AAP) et le syndicat des auteurs (Authors Guild), en déboursant la modique somme de 125 millions de dollars. Prochaine étape, la Justice. Ce geste ne donne malheureusement les droits à Google qu’aux Etats-Unis. A voir si le géant de la toile pourra faire de même en France et dans les autres pays d’Europe.
Source : GNT
Depuis la version 3.14 de Google Preview dont j’ai eu l’occasion de vous parler à sa sortie, il est possible de demander à ce qu’une miniature de site, aussi appelée thumbnails, soit mise à jour : clic droit puis Mettre à jour cette miniature. J’ai pu testé début du mois et je viens de réitéré l’opération avec la version 3.15 : update dans les trois jours.
Que demander de plus ? Merci pour ce beau plugin Firefox !
L’ICANN vient de rendre public les modalités de création des noms de domaine de premier niveau (TLD) personnalisés. Bien loin de la dizaine d’euros qu’il faut débourser pour un domaine .com ou .fr, c’est ici pas loin de 185 000 dollars qu’il va falloir présenter. Cette coquette somme correspondrait selon l’ICANN au traitement administratif des différents dossiers.
La première étape sera effectivement l’acceptation dudit dossier. Après cela, les entreprises ou ceux qui souhaiteront monter un petit business en proposant la création de (simples) noms de domaine, au delà de l’argent déjà déboursé, il conviendra de payer une taxe annuelle de 5 % du chiffre d’affaires réalisé avec un minimum de 75 000 dollars.
De quoi calmer certaines ardeurs mais bel et bien une nouvelle conséquente dans l’histoire d’internet !
Source : JDN
Je viens de lire sur TechCrunch que Microsoft vient d’annoncer la disponibilité de sa suite Office sur internet : Office Live Workspaces. Il est donc possible de retrouver Word, Excel, PowerPoint et OneNote. Il est clair qu’il était difficile de réagir autrement face aux services toujours plus nombreux du géant Google et notamment Google Docs qui est une vraie solution de substitution.
Pour l’instant, de quoi peut-on bénéficier ? Il convient d’installer Office Live Workspace afin de pouvoir travailler.
Pour faire court il s’agit d’un stockage et un espace qui permet de visualiser ses fichiers. Pas question pour l’instant de les modifier en ligne. Le fichier est en effet téléchargé de manière transparente, affiché dans le logiciel adéquat de la suite Office afin de pouvoir être altéré et est ensuite renvoyé à chaque enregistrement. Dommage.
Ne tentez même pas un accès avec un autre navigateur qu’Internet Explorer ou Firefox… J’ai tenté le coup avec Opera pour éviter d’avoir à fermer mon Firefox suite à l’installation du plugin mais j’ai été rappelé à l’ordre :
Pour pouvoir utiliser Microsoft Office Live, votre ordinateur doit être configuré de l’une des façons suivantes :
- Microsoft Internet Explorer 6 ou 7, exécuté sous Microsoft Windows XP, Windows Server 2003 ou Windows Vista. Vous pouvez télécharger Internet Explorer 7 à partir de la page Internet Explorer.
- Firefox 2.0.0.14 ou Firefox 3.0, exécuté sous Windows XP, Windows Server 2003, Windows Vista ou Mac OS X 10.2.x et versions ultérieures. Vous pouvez télécharger Firefox 3 à partir de la page de téléchargement de Firefox.
Vivement de plus amples possibilités gratuites via notre navigateur.
TiChou 
30/10/2008 à 00:19 
